GUY BERGEAUD : Singularite du coaching
Depuis longtemps, aider les hommes, les développer, était vraiment devenu mon centre d'intérêt principal. Même dans la fin de ma carrière en entreprise, l'automobile me passionnait beaucoup moins. Ce qui m'intéressait, c'était de mettre en place des des programmes de formation, de développement, de jouer la dimension Ressources Humaines plus encore que la dimension marketing ou commerciale.
C'est cette conscience de ma passion pour les facteurs humains qui est à l'origine de la création de mon entreprise.
C'est vrai que mon approche était singulière par rapport à des conseillers qui s'assoient à la table et qui annoncent : "Voilà ce qu'il faut faire." Je crois que le coach doit se présenter comme quelqu'un qui "ne sait pas" afin de poser les bonnes questions. S'il "sait" ce qu'il faut faire, il va poser des questions qui contiennent la réponse : "Est-ce que vous ne pensez pas que...".
Le vrai coach écoute son client en laissant son expérience sur le pas de la porte pour pouvoir avoir des questions nouvelles, sans préjugés, des questions neutres, des questions qui questionnent.
Ce n'est pas évident, surtout en France. Je le vois chaque jour. Lorsque je développe la dimension "coach" chez mes clients, ce n'est pas facile pour eux. Je leur fais un apprentissage du questionnement pour qu'eux-mêmes l'appliquent dans leurs équipes.
Je suis convaincu que beaucoup de coachs prétendent l'être mais sont uniquement des "conseils".
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